Comme tant d’autres femmes, Valérie Bidégaré s’est fait dire par son médecin que son mal était « dans sa tête ». Pourtant, c’était bien son corps qui était malade. Comment se fait-il que les femmes aient encore autant de difficulté à être prises au sérieux et à être adéquatement soignées lorsqu’elles souffrent de maladies gynécologiques? Pourquoi certains mythes (que les femmes sont plus émotives et moins rationnelles, que c’est normal de souffrir pendant les règles, etc.) ont-ils la couenne aussi dure?